mardi 30 juillet 2013

"summer break" (*)

Bon... comment dire... cela fait quelques temps que j'y pense... Aujourd'hui, je franchis le pas! 

Par manque de temps (de motivation?) et d'idées brillantes, avec un ordi en rade... et des tas d'autres bonnes excuses, je me fais rare sur ce blog.

Aujourd'hui, donc, j'ai bien envie de faire un "break" (ah ah ah! jamais eu l'occasion de le placer dans la vraie vie celle-là!)...
Bon, on sait tous ce que ça donne, dans les histoires d'amour, le break se termine presque toujours pas une rupture définitive...

On verra bien...

Donc, avant de faire une (plus ou moins longue) pause, je vous laisse en images, avec les jaquettes des derniers livres que j'ai lus et aimés, et celle de mon gros gros coup de cœur musical du moment.

Un clic sur la légende de l'image vous mènera sur un site ou un blog où vous pourrez trouver un peu plus de détails qu'ici!



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En cours de lecture :


Si par hasard c'était l'amour / Stéphane Daniel. Rageot, 2010


Frais, drôle, love. J'adore!
Cela tombe bien, il y a une suite!


Note : ce roman était sorti en 2006 sous le titre Gaspard in love.



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Je viens de terminer :


Le Bon Antoine / Marie Desplechin. Gallimard jeunesse, 2013

Juste avant ça, j'avais lu ceci :


La Belle Adèle / Marie Desplechin, Gallimard jeunesse, 2010


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Suite à ma lecture de Bonheur fantôme (cf. article précédent), j'ai voulu lire le tout premier roman d'Anne Percin, roman ado, où elle fait entrer Pierre en scène. 
Un vrai COUP DE CŒUR!


Point de côté / Anne Percin. Thierry Magnier, 2006

Une fois n'est pas coutume, je vais citer un passage du roman...
Une phrase qui m'a touchée... et qui résume tellement bien l'état d'esprit de Pierre... y compris dans Bonheur fantôme :


"J'ai envie d'aimer, j'ai envie de crever. C'est pareil, au point où j'en suis, c'est pareil".



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Bon, vu que c'est l'été, un peu de chick-lit ne peut pas faire de mal :


Poppy Wyatt est un sacré numéro / Sophie Kinsella. Belfond, 2013


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Et enfin, comme promis, de la musique :


Pili Pili sur un croissant beurre / Gaël Faye. 6D, 2013

C'est super réducteur de ne vous proposer qu'une seule écoute parmi tous les titres, qui sont vraiment top, mais j'avoue avoir un petit faible pour cette (étonnante, superbe...) déclaration d'amour :


Ma Femme (en Mouv'session)


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Bon, ben, voilà, on y est!
Je vous laisse... pour quelques temps... ou plus...

En attendant, vu que c'est le moment, je vous souhaite un bel été, rempli de petits bonheurs (littéraires, musicaux et autres, bien entendu!).


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(*) Vous l'aviez vu celui-là?
Hé hé hé!
Donc, oui, pour bien terminer (ou pas), il fallait bien un jeu de mot pourri!

Merci à ceux qui en auront (sou-)ri... Sans doute, ceux qui :
1) me connaissent personnellement
2) savent ce qu'est le spring break



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Bon, il faut que je vous laisse.
Il y a concours de t-shirts mouillés!


vendredi 28 juin 2013

... (*)

Suite du travail effectué lors de mon stage. 
Je n'avais pas abouti la rédaction de cette "brève" lors du stage, et je l'ai un peu complétée aujourd'hui... 

(*) Il aurait fallu que je donne un titre à ma brève, pour donner le ton de cette dernière... Mais, j'avoue, je sèche... 

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Bonheur fantôme / Anne Percin. Le Rouergue, 2009



Dans un petit village de la Sarthe, Pierre, 28 ans, vit dans une maison décrépite, avec chiens et chats qu'il a recueillis.

Il y a 2 ans, il a plaqué sa vie parisienne, et R. son grand amour, pour venir s'installer là, à La Flèche, ce village où les habitants l'ont accueillis sans poser de question.

Pierre nous fait part de sa vie au jour le jour. Il partage notamment son temps entre sa boutique de brocanteur et le projet d'écriture d'une biographie de Rosa Bonheur. Il s'est en effet entiché de cette peintre du XIXème siècle, une femme libre dont les choix de vie le touchent particulièrement.


Des éléments diffus de son histoire et de ses souffrances passées nous éclairent progressivement sur sa vie actuelle.

Dans ce texte, pas de dialogue. Pierre retranscrit ses échanges avec les habitants de la Flèche ou ses proches.
Ce seul point de vue accentue l'impression de mise à distance, de fuite, de volonté de Pierre se forger une carapace affective pour ne plus souffrir, ne plus être abandonné.



Pierre ne veut plus souffrir, mais il ne peut s'empêcher d'aimer. Il est submergé par l'amour. Cet amour qui l'avait déjà sauvé du néant, dans son autre vie, et contre lequel il ne peut pas lutter.


Dans ce premier roman pour adultes, Anne Percin met en scène le personnage principal de son tout premier roman, Un point de côté, paru en 2008 chez un éditeur jeunesse (Thierry Magnier).
(que je vais m'empresser de lire)








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 Rappelez-vous, je vous ai déjà parlé d'Anne Percin :
Comment (bien) rater ses vacances (Rouergue, 2010)



samedi 22 juin 2013

Reboostée!!!

Lorsque j'étais petite, je faisais un cauchemar récurrent, lié à l'école : 
Je me retrouvais vêtue d'un pull (t-shirt) et d'un collant dans la cour de l'école, sans chaussure, entourée de tous mes camarades. Bien que ma maison se trouvait (pour de vrai) à 2 pas de là, il m'était impossible de rentrer m'habiller autrement... je ne pouvais pas avancer...

Je n'ai pas l'impression d'avoir été traumatisée par ma scolarité, et pourtant, aujourd'hui, régulièrement je fais un autre cauchemar en lien avec l'école avec quelques variations. En général, je dois aller passer un examen et ça me met dans un état incroyable de stress.

Lorsqu'on est installé dans le monde du travail, à moins d'une reconversion ou à quelques autres exceptions près que je ne détaillerai pas ici, on ne va plus à l'école.
On ne suit plus des cours (ouf!), en revanche, on peut partir en formation.
Je reviens justement d'une super formation!

(qui a dit : "tout ça pour ça???") 

Une formation menée par une excellente formatrice, où j'ai appris à rédiger des "brèves de lecture".

Une "brève de lecture", qu'est-ce donc??? A vrai dire, je n'ai pas envie de vous faire un compte rendu de ma formation ici-même. Ce n'est pas le lieu pour ça. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'une brève de lecture est un texte qui permet de rendre compte d'une lecture et surtout de donner envie aux autres de lire le livre en question. (Évidemment, cela fonctionne avec d'autres supports : CD, DVD...)

Pour vous donner un contre-exemple, ou plutôt, plusieurs contre-exemples, à chaque fois que je vous ai parlé d'un bouquin, ce n'était pas une brève de lecture (enfin... je vais quand même faire un petit tour rétrospectif dans mes notes, sait-on jamais, j'en trouverai peut-être une qui s'en rapproche!?).

A titre d'exemple pas forcément abouti, voici ce que j'ai rédigé au cours de ma formation.

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C'est la vie

Öko, un Thé en hiver / Mélanie Rutten. MeMo, 2010

C'est l'hiver. Madeleine est morte. Tout le monde se retrouve pour son enterrement. On rend un dernier hommage, on partage, on fait le plein de souvenirs.
Chacun part se confronter à son deuil.
A l'image d'Öko, qui aurait bien aimé repartir avec Nour.
Qui sans oublier Madeleine va ouvrir son cœur à un nouvel ami.

La mort, l'amour, la jalousie, l'acceptation de l'autre... autant de thèmes et de sentiments que Mélanie Rutten traite tout en subtilité et avec justesse. Ses dessins à l'aquarelle et au crayon accentuent la poésie et la douceur d'une histoire qui suit le fil des saisons pour illustrer la vie.
Amitié et émotions sont au cœur de ce livre et des 3 autres albums où Mélanie Rutten met en scène Öko, Nour et les autres.

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La dernière phrase, je l'ai ajoutée à l'instant... Je me rends compte que je n'ai pas suffisamment insisté sur le fait que c'est un album parfait pour aborder la question de la mort avec les enfants.

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Une autre partie du fruit de ma formation la prochaine fois.

samedi 8 juin 2013

Myope comme une taupe


Il y a quelques temps, je suis tombée sur un panneau publicitaire qui m'a vraiment parlé (le fait est tellement rare, que forcément ça m'a marquée!).
Bon, enfin, parlé, pas comme
les gens qui ont planché sur cette pub l'ont imaginé/espéré, puisque je ne me rappelle même plus de qui elle émanait précisément (je ne suis pas du tout une bonne cible publicitaire).

On y voyait un homme, musclé, torse nu... apparemment très attirant.
"Apparemment", puisque l'image était complètement floue.
Une pub pour un opticien me semble-t-il, ou de je-ne-sais-qui qui nous encourageait à faire contrôler notre vue...


J'ai comme eu l'impression que cette pub me faisait de l’œil (ah ah ah), en me disant "tu te souviens???".

Parce que oui, précisément, je me souvenais!

Je me souvenais de toutes ces fois où, ado, à la piscine ou à la plage (avant d'avoir, enfin, des lunettes de soleil à ma vue), je demandais "et lui, il est comment?", tout en ayant l'air ridicule à force de dévisager quelqu'un (sans le voir vraiment) en plissant les yeux.

Je sens que ça parle à certain(e)s d'entre vous également, n'est-ce pas!?!
Et là, je vous sens trépigner d'envie de citer tous les désagréments liés à notre "trouble de la vision" (hum... plus qu'un simple trouble de la vision... parfois ça relève du handicap social! On y reviendra).


Pour les porteurs de lunettes correctrices, le gros dossier, c'est la piscine !
Ca commence par la buée sur les verres quand on entre et ça continue avec l'impossibilité de distinguer nettement quoi que ce soit (du beau gosse à la pendule, en passant par le maître nageur qui fait signe (à nous? à notre voisin?) de libérer la ligne d'eau...).


Les mêmes se plaindront de la difficile équation lunettes de vue/soleil... Si les verres correcteurs existent en version teintée, ça implique une gymnastique impossible entre les 2 paires de lunettes.
Par exemple lorsqu'on entre dans un tunnel ou qu'on en sort en conduisant, ou encore lorsqu'on fait la moindre activité où l'on alterne les phases "extérieures" et "intérieures".

Que dire de l'obligation chaque matin de dépoussiérer les lunettes qui nous ont attendu sur la table de nuit???

Et je n'ai pas abordé le "handicap" que ça peut impliquer sur le plan de la séduction lorsqu'on est ado!!!

Si vous avez une trentaine d'années comme moi et que vous avez regardé certaines séries télévisées (officiellement ou non), rappelez-vous des personnages à lunettes!!! Des stéréotypes d'intellos, accessoirement boutonneux, avec une vie amoureuse désespérement inexistante...  

Vous vous souvenez d'Annette, par exemple?


Magalie Madison dans Premiers baisers (AB Productions)


La meilleure amie de l'héroïne de Premiers baisers, série "(cu-)culte" de TF1 dans les années 90!
(Certains me diront peut-être qu'elle avait un amoureux... je ne sais plus... en tout cas, elle avait beaucoup moins de succès que sa copine!!!)

(J'avais quasi les mêmes lunettes à l'époque... la couleur vive en moins...hum...bref.)

Et les lentilles, alors, me direz-vous!?
Je ne peux pas vraiment en parler, je n'en ai porté que 2 jours en tout dans ma vie...
Mais je pense ne pas trop me tromper en citant rapidement quelques désagréments qui leur sont liés :

- en perdre une,
- se retrouver avec les yeux explosés lorsqu'on fait une nuit blanche ou qu'on découche de manière imprévue,
- être obligé de porter ces-p...n-de-lunettes-qu'on-déteste parce qu'on a une conjonctivite...

Mais qu'on porte des lunettes ou qu'on soit adepte des lentilles, le problème majeur, c'est la nuit (lorsqu'on ne découche pas) alors qu'on a posé lentilles ou lunettes!
Pour commencer, si l'on se réveille au beau milieu de la nuit, on est obligé de mettre le nez sur le réveil pour voir l'heure qu'il est.
Ensuite, si l'on doit se lever pour une raison ou une autre, 2 options (désagréables) s'offrent à nous : 1) éclairer pour ne pas se cogner dans un mur ou une table basse, et de fait être totalement réveillé ou 2) ne pas éclairer pour ne pas être totalement réveillé... et se cogner dans un mur ou une table basse!

Bref, la myopie, c'est la merde!!!

Une solution s'offre à celles et ceux qui n'en peuvent plus de tous ces désagréments, des lunettes, des lentilles... 

Une solution coûteuse et douloureuse... l'opération au laser!
 

J'y reviendrai peut-être un jour, mais avant cela, je précise que le résultat est vraiment vraiment satisfaisant!

Enfin... satisfaisant à l'exception de 2 choses :
1) Plus de lunettes pour camoufler les yeux cernés! Je constate que je suis contrainte d'user de subterfuges que je n'avais jamais employé jusque là ... Du coup, je passe plus de temps dans la salle de bain...(à moins que cela ne soit lié à l'âge!?)

2) J'ai perdu l'avantage des myopes (il y en avait tout de même un, majeur!) qui voient très très bien de près... 
Avantage qui faisait de moi une véritable pro lorsqu'il s'agissait de retirer une écharde!






(Moralité : les (ex-)myopes ont toujours une raison de se plaindre!)





samedi 1 juin 2013

En ce moment, je monte le son...

... sur ces quelques titres.

Ne cherchez pas de cohérence... il n'y en a pas!


 Some better day / I Am Kloot

Tiré de l'ambum Let it all in, que j'écoute (presque) en boucle en ce moment dans ma voiture.

Let it all in / I Am Kloot. Shepherd monn, 2012


Presque, parce que j'alterne avec cet album :

The Lumineers / The Lumineers. Dualtone, 2013


Dont vous connaissez certainement le titre suivant :

Ho Hey / The Lumineers



Quoi d'autre ?


Can't hold us / Macklemore & Ryan Lewis (feat. Ray Dalton)

 Thrift shop / Macklemore & Ryan Lewis (feat. Wanz)


Autant vous dire que j'attends avec impatience de découvrir l'album dans son intégralité :

The Heist / Macklemore & Ryan Lewis. Macklemore, 2012







Thématique "love" dans les 2 titres suivants :


LoveSong / Vanessa Paradis
(Live, extrait de l'émission C'est à vous France 5, 18 mai 2013)



I love you / Woodkid



Et pour finir, absolument pas une nouveauté, mais un morceau qui passe encore souvent à la radio, et qui me donne bien la pêche!
Comme je suis super sympa, je vous "offre" une vidéo du clip sous-titré en espagnol! (hé hé hé, ça me fait marrer...)

I kissed a girl / Katy Perry



Voilou! 
Et vous, vous montez le son sur quoi en ce moment???
(pourquoi pas un petit post sur vos coups de coeur, très bientôt??? hein!? alors, allez-y les gens : REPONDEZ!!!)




 

mardi 7 mai 2013

La petite jupe (en jean) qui va bien!

Autant vous le dire tout de suite : je suis plutôt fière de moi!!!

Pourquoi? J'ai commencé à m'atteler aux différentes tâches que j'avais listées la dernière fois.

Je suis d'ores et déjà plongée dans le Wallander. Un véritable plaisir de lecture!!!

Bon, vous l'aurez compris, ma fierté ne réside pas dans cette lecture, mais plutôt dans la réalisation de la "fameuse" jupe en jean pour ma grande louloutte.

Je vous mets tout de suite dans l'ambiance :



Un peu le bazar... oui, en couture, mes maîtres-mots sont : bazar et bidouillage!
Les 2 ayant leurs limites, bien sûr. Surtout le bidouillage. Enfin, pour compenser, j'ajoute une bonne dose de patience, et ça le fait!!!

Oui, de la patience, il m'en a fallu, parce que ça n'a pas été facile!
Avant de me lancer dans cette "aventure", j'avais bien entendu fait quelques recherches sur le net. L'idée de réaliser une jupe à partir d'un vieux jean n'étant pas novatrice, j'avais trouvé un certain nombre d'images, de conseils, et plus.


Blue marguerite, "le site des idées créatrices" présente une fiche assez claire. Celle-ci m'avait donné l'illusion que ça ne serait pas si compliqué que ça... 
Pfff... quel optimisme!
Ceci dit, les indications données étaient un bon point de départ!!!

Bon, le résultat en images :






Il m'a fallu découdre l'entrejambe assez haut, d'où la petite patte sous la braguette.
Pour le triangle de tissu cousu entre les (ex-)jambes du pantalon, j'ai utilisé le bas du jean (pratique, l'ourlet en bas était déjà fait). Celui-ci était étroit, j'ai dû garder l'une des 2 coutures latérales, que j'ai un peu excentrée (pour faire joli), comme on le devine sur la photo.



Pour l'arrière, contrairement aux indications de Blue marguerite, j'ai également ajouté un triangle de tissu, le bas de l'un de mes anciens jeans (d'où la différence de couleur), et j'ai un peu joué avec le tissu, l'intérieur de l'ourlet (bandes plus foncées sur la photo)... à la fois pour me faciliter la tâche et aussi pour apporter quelques fioritures...





Dernière petite chose : je n'ai pas fait d'ourlet double.
Par facilité simplicité, bien sûr, parce que je ne sais pas quel type d'aiguille est sur ma machine... et puis, j'avais le temps "là-tout-de-suite" de coudre, je n'ai pas voulu en perdre à me pencher sur cette question (je vous le disais : bidouillage).
Du coup, j'ai découpé le tissu au ciseau cranteur. Ca ne se voit pas lorsque la jupe est portée. Reste à savoir si cela va durer... à suivre!

En tout cas, ma fille est ravie!!! D'ailleurs, alors même que je n'avais pas encore fait le devant de la jupe qui était encore pleine d'épingles, que l'entrejambe lui arrivait au niveau de la culotte, ma gentille louloutte à qui j'avais demandé de faire un essayage m'a dit : "Maman! Elle est trop belle!!!"

Hé hé hé!!! Ma fierté, elle est là. Dans le plaisir que j'ai procuré à ma jolie coquette!

Allez! Maintenant, si le soleil pouvait se pointer pour qu'elle puisse l'exhiber, ce serait top!



 
 

 

jeudi 25 avril 2013

Ma petite liste de choses à faire

Bon, je pars du principe que si je l'écris ici, ça vaut (presque) un engagement, donc je suis (presque) sûre de mener ces "projets" à bien.

Ceci étant dit, je suis preneuse de vos éventuels remarques et conseils, le cas échéant!

Donc, voici ma liste :


-> Me remettre activement à la lecture afin d'éponger la pile qui traine chez moi.
(et accessoirement permettre aux lecteurs de la bibliothèque de les découvrir/lire!)
Parmi les titres qui s'entassent :


La Faille souterraine / Henning Mankell. Seuil, 2012
Des enquêtes inédites de Kurt Wallander... je ne comprends pas pourquoi il traine chez moi depuis des semaines!


Timeville / Tim Sliders. Fleuve noir, 2012
Un titre que j'ai suggéré, je me sens obligée de le lire... vis-à-vis de la collègue avec qui j'achète les romans... En plus, un roman qui met en scène une famille d'aujourd'hui qui se réveille un jour dans les années 80, ça semble plutôt sympa, non?


-> Coudre une jupe à ma grande louloutte à partir de son ex-"super" jean.
(soit dit en passant, un jean de la marque dont le logo est un fruit rouge... quelle cochonnerie!!! Certes, elle l'a beaucoup porté, mais pas plus qu'un autre qui est actuellement porté par sa sœur)


-> Vous présenter (enfin) en images la petite robe que j'avais raccourcie l'année dernière.


-> Vous donner la recette des trop-trop-bons cookies au beurre de cacahuètes, très fortement inspirée de celle que m'a donnée une copine canadienne.


-> -> -> -> Je pourrais certainement trouver plein d'autres choses à écrire... Mais bon... il faut être réaliste! 


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En attendant, comme vous avez été très gentil(le)s de lire cette liste qui ne vous apporte pas grand chose, je vous donne rapidement une recette sympathique pour écouler des blancs d’œufs inutilisés (non, je ne fais pas une fixation sur les œufs!!!).

La recette des LANGUES DE CHAT :

Pour un blanc d’œuf :
30g de farine
30g de beurre
20 à 25 g de sucre

Préchauffer votre four (environ 200°C).

Faire ramollir le beurre, mélanger avec les autres ingrédients (perso, je ne suis quasiment jamais l'ordre indiqué par les recettes, je la joue au feeling... ça marche la plupart du temps!).

Disposer des petites quantités de la pâte obtenue sur une plaque beurrée-farinée (ou sur du papier sulfurisé), en petits tas espacés.
Avec une poche à douille, ou 2 petites cuillères, comme on veut/peut.
En petits tas arrondis ou allongés, comme on veut/peut.

Enfourner... environ... hum... Là, mon expérience ne colle pas avec la durée indiquée sur la recette... On va dire entre 5 et 15 min (ha ha ha!).
Quoi qu'il en soit, dès que le pourtour des biscuits est doré, il faut les sortir.

Note : les biscuits sont alors encore un peu mous, en les posant sur un rouleau à pâtisserie, ils s'arrondissent, on obtient alors des tuiles!

Voilou.

Bon, j'arrête là, j'ai des choses à faire!

lundi 22 avril 2013

Quoi de n'oeuf?

Yeaaaaah!!! me revoilà!!!
(avec un jeu de mot pourri!!!)

Purée, l'angoisse de la page blanche de l'écran blanc!
Pas trop de lecture en ce moment, pas d'idée lumineuse à partager avec vous, je me voyais déjà vous parler de coquilles d’œufs durs
(*)... jusqu'à ce que... tadaaam... je pleure 1 heure 30 durant (ou presque).

Eh! oui! 2 ans après sa sortie, et du coup après un certain nombre d'entre vous, j'ai regardé ça :

La Guerre est déclarée / Valérie Donzelli. 2010

Bon, ok, il y avait un petit côté maso à l'idée de visionner ce film, je me doutais bien que je verserais une ou deux larmes, en sachant qu'il parle d'un couple, de leur enfant et du combat qu'ils mènent contre la maladie de ce dernier.

Ce qui m'a appâtée, ce sont toutes les critiques élogieuses et les quelques interviews de Valérie Donzelli que j'avais entendues lors de sa sortie.
L'histoire racontée est celle de Valérie Donzelli et de Jérémie Elkaïm, qui partage l'affiche avec elle, et donc de leur fils.

Une ou deux larmes... tu parles... Alors même que je connaissais le propos du film et l'issue du combat mené par les personnages, les vannes se sont ouvertes à peine un quart d'heure après le début du film.

Celui-ci montre donc le combat mené contre la maladie plusieurs années durant, mais pas tant du point de vue de l'enfant, son traitement et ses douleurs. On ressent beaucoup de pudeur vis-à-vis de cela... Dans les bonus du DVD, Valérie Donzelli raconte qu'elle n'avait pas souhaité revivre cet aspect-là, qu'elle ne s'en sentait pas le courage (euh... je paraphrase, je n'ai pas retenu ses propos exacts).


Du coup, au-delà du combat mené contre la maladie, ce qui m'a le plus touché, c'est la (très) belle histoire de couple qui nous est donné à voir.

Un couple au sein duquel chacun puise la force de surmonter cette épreuve dans l'autre.
A la fin du film, l'un des personnages dit à l'autre qu'il n'aurait pas pu vivre cela avec une autre personne.


C'est beau, c'est touchant, bouleversant même si l'on commence bêtement à se projeter... et en même temps, c'est rempli de bonne humeur et d'optimisme.

Cela m'a donné envie de voir les autres films réalisés par Valérie Donzelli : La Reine des pommes et le plus récent Main dans la main.

Vous les avez vu? Vous en avez pensé quoi? 











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(*) Je vois bien que certains d'entre vous n'en peuvent plus, qu'ils trépignent à l'idée de connaître le fin mot de l'histoire à propos des coquilles d'oeufs...
Bon, comme je suis sympa, et même si j'ai trouvé quelque chose de plus intéressant à vous raconter, je vais vous parler d'oeufs.

(mais je vous préviens : pas la peine de me dire que ça n'a aucun intérêt et qu'on trouve vraiment de tout et n'importe quoi sur ce blog... je vous rappelle que c'est le principe du fourre-tout!)

L'oeuf dur, donc!

J'en profite au passage pour vous donner quelques (super) trucs (ça faisait longtemps!) :

- lorsque vous avez besoin d'un oeuf dur, faites-en cuire plusieurs à la fois.
- pour la cuisson (merci maman!), mettez les oeufs dans l'eau froide que vous ferez bouillir avec un couvercle, dès que ça bout : éteignez le feu, laissez les oeufs dans la casserole, avec le couvercle, jusqu'à ce que l'eau refroidisse.
(ok, les puristes vous diront que pas du tout, il faut mettre les oeufs dans l'eau qui bout déjà, puis compter tant de minutes... mais bon, là l'intérêt est économique, écologique et pratique : pas besoin de minuteur!)
- enfin, pour la conservation des oeufs durs au frigo (merci belle-maman!), pour ne pas les confondre avec des oeufs frais, ébréchez la coquille sur la partie haute de l'oeuf dur.

Et c'est là qu'on en arrive à ce qui a interpellé mon esprit scientifique... et que j'ai eu envie de partager avec vous : 
En voulant ébrécher 2 oeufs durs en même temps en les tapant l'un contre l'autre, j'ai pu remarquer qu'une seule des 2 coquilles se brise!!!
Dingue, non???






hum... 








Comment ça : "ces trucs sont pourris, on les connait déjà"?
Et : "esprit scientifique, esprit scientifique... tu parles... elle a rien d'autre à faire madame S ou quoi?"







Je vous avais prévenu!

Allez, à très vite... ou presque!

jeudi 4 avril 2013

Chasse aux oeufs

(anecdote déguisée en post)

Si Pâques est à l'origine une fête religieuse, chez nous c'est avant tout l'occasion de se réunir en famille (car souvent la date est proche des anniversaires de mes 2 derniers loulous). Les enfants, eux, vous diront que c'est la fête où l'on fait la chasse aux oeufs!

Parlons-en des oeufs... Ils ont été sacrément "chassés", cette année!!!

Pour vous situer le contexte, il faut que je précise qu'assez fréquemment (pour ne pas dire : invariablement!), ce sont les grands-parents qui fournissent les oeufs.

Ma petite histoire commence 2 jours avant le jour festif.
Ma belle-maman m'appelle et me demande :

"Tu n'aurais pas emmené les oeufs chez toi?".
Après avoir cherché dans tous les coins chez elle, elle n'arrivait pas à remettre la main dessus!
Alors que je lui suggérais d'accuser son mari et avant même que nous ne raccrochions, les oeufs ont été retrouvés (planqués rangés par mon beau-père, je crois).
Fin du premier épisode.

Dimanche, mes parents et mes beaux-parents (avec les oeufs!) débarquent à la maison pour une belle et festive journée familiale.

Dans l'après-midi, le temps étant enfin convenable, je décide d'aller cacher les oeufs dans le (grand et beau) jardin... Impossible de retrouver les sachets!!!
Nous étions 4 à être sûres des les avoir vus, mais après avoir ouvert tous les placards, fouillé les sacs et chaque recoin de la maison : rien!

Seule pièce qui n'avait pas subi la fouille en règle : la chambre de mon petit loulou (de presque presque 4 ans ce jour-là).
L'heure de la fin de la sieste ayant sonné, je me décide d'aller le réveiller et lui dis :
"On n'arrive pas à retrouver les oeufs de Pâques, tu ne sais pas où ils sont?".
Lui, à moitié dans le coltard (oui, je ne lui ai pas laissé beaucoup de temps pour émerger... mais bon, hein! LES OEUFS quand même!) :
"Non..."
Je me retourne et ouvre ses volets, et j'entends alors sa petite voix de filou :
"Je les ai cachés et vous les trouverez jamais!".
Je jette alors un oeil à sa cachette préférée (où il lui est déjà arrivé de se cacher... ou de planquer des jouets de sa soeur).
Evidemment, les oeufs y étaient.
Ha ha ha!
Voilà pour le deuxième épisode!

Bon, le troisième épisode est plus "traditionnel", je ne m'étalerai donc pas.

Quant au quatrième épisode, le plus intéressant : la dégustation!!!

La moyenne française étant de 11,9 grammes par jour... Je crois que chez nous, les compteurs explosent!


Source : Flickr. Par Beetletoyz