Mes trucs de femme au foyer!!!

Bon, je re-situe brièvement le contexte :
- j'ai 3 enfants (2 à 7 ans 1/2)
- un mari qui bosse beaucoup et loin
- je travaille à 48% (si, si, c'est possible, comique, mais véridique!)

donc, on peut presque dire que je suis une femme au foyer, vu que c'est là que je passe le plus clair de mon temps!

voici donc une petite liste de mes supers trucs de femme au foyer... enfin : mes supers trucs pour bien vivre ma vie de femme au foyer !

(en vrac, ou presque :) 


LE LINGE  
(gros sujet, avec 3 enfants, le nombre de lessives est impressionnant!!!)
- ne pas repasser (*) 
(il suffit de bien étendre son linge et de ne pas le laisser trainer avant de bien le plier, sinon... ça se complique!)
- laisser Monsieur repasser ses chemises  
(oui, bon, quand même il y a des incontournables, dans le repassage!)
- plier les chaussettes de Monsieur comme il les a laissées à laver  
(c'est-à-dire quasi tout le temps à l'envers)
- ne pas oublier de faire la même chose avec celles des enfants lorsqu'ils seront plus grands
- étendre/ramasser/plier le linge lorsque les copines qui habitent loin sont disponibles pour un coup de téléphone  
(ça fait un petit peu mal au cou, mais je maîtrise le "coinçage" de téléphone entre l'oreille et l'épaule!)
- laisser trainer la panière de linge plié afin qu'une bonne âme se charge du rangement  
(et ne pas râler lorsque Monsieur mélange une fois de plus les vêtements des filles!)
- avoir une machine à laver avec des programmes courts


(*)l'autre jour, mon loulou de 2 ans me voit repasser (oui, bon, ça arrive quand même parfois!), super étonné, il me dit "qué fé, maman?", puis, en désignant le fer à repasser : "à Mamie, ça?"... hum... 




LE MÉNAGE 
(le quoi?)
- ne pas faire TOUT le ménage d'un seul coup 
(en fait, ce n'est pas vraiment un choix... je n'arrive pas à faire autrement que de dissocier les tâches!)
- ne pas laver les vitres 
(Monsieur s'en charge très bien)
- ne plus empêcher les enfants de passer l'aspirateur ou la balayette lorsqu'ils en ont envie 
- ne pas trop regarder les coins 
(que se soit en l'air ou par terre)
- ne pas avoir des tonnes de bibelots, d'étagères... et autres attrapes-poussières
- ne pas faire changer l'ancien carrelage moucheté contre du carrelage neuf et salissant
- faire changer les fenêtres lorsque les vitres sont trop sales (ah! non, le changement de fenêtres, c'était pour ne plus entendre les voisins !)




LA CUISINE
- avoir un lave-vaisselle avec un programme court
- avoir une grande cocotte-minute 
(et s'inspirer des recettes qui l'accompagnent)
- investir dans un robot multi-fonction  
(je m'en sers presque uniquement pour faire des pâtes, mais au moins, je n'en achète presque plus des toutes prêtes)
- se disculpabiliser lorsqu'on propose des produits congelés, ou des plats tout prêts, ou des produits un peu trop gras... en utilisant quelques astuces 
(exp. acheter des légumes ou des plats congelés bio, proposer du poisson pané avec des haricots verts...)
- (et surtout :) être inventif, créatif et savoir se renouveler (même si c'est trop pratique de faire toujours ce super plat complet et rapide à faire ; pas une mince affaire, en fait!)
- (ah! j'oubliais :) faire des quiches à "tout"  
(surtout aux légumes, tels que épinards, endives, ratatouille... mais pas "tout" en même temps!)  
et proposer des variations autour d'une recette basique  
(tel que le gâteau au yaourt, pour les exemples, se référer à une note ultérieure)
- (le truc de mon mari qui se lève avant tout le monde, et dont je profite allègrement!) Mettre la table du petit déjeuner le soir après le diner  
(ça peut paraître dingue, mais qu'est-ce que c'est appréciable!!!)




DIVERS

En profiter pour :
- S'octroyer régulièrement un moment de détente (sieste, lecture...) pendant la sieste du petit dernier
- Papoter avec les mamans (qui sont devenues des copines) à la sortie de l'école
- Être à l'affut du moindre truc, de la moindre astuce des autres "Desperates housewives"
(fallait bien que je les cite!) 
- (et, euh...) Raconter tout et n'importe quoi sur un blog!

 
Bon, je me dois d'apporter une petite précision : dis comme ça, on pourrait croire que je fais tout à la maison... mais c'est uniquement le cas lorsque Monsieur n'est pas là, j'ai la grande, l'immense, l'énormissime chance d'avoir un mari qui fait tout plein de choses à la maison (sauf récurer les WC!!!) et surtout qui est un super papa !




Et pour finir, une petite requête : dites, c'est quoi vos supers trucs à vous??? (même si vous travaillez à 61, 83, 100 ou même 120% !!!)

Un peu d'aide pour utiliser Blogger

Un petit message tout court, tout rapide pour citer 2 blogs qui m'ont aidée (qui m'aide!), techniquement parlant, pour créer ce blog.


Celui que j'ai découvert en premier :
Blog d'aide pour Blogger
(utilisé notamment pour le référencement)


Et celui que je préfère (et qui m'a notamment aidé à mettre en place la tant attendu Newsletter!) 
Mes trucs pour Blogger


Voilà... (je vous l'avais dit: tout rapide, tout court!)

Le Baby-sitter de Jean-Philippe Blondel

Ce n'est pas très objectif, ni très littéraire, ni très... rien du tout en fait, mais il m'arrive souvent de choisir un roman en fonction de sa couverture.

Ou en tout cas, de m'intéresser à un livre parce que sa couverture m'a attirée.

Ou encore de trancher sur l'achat d'un livre (dans le cadre de mon travail, et en en discutant avec la responsable des acquisitions) parce que sa couverture interpelle, qu'elle est belle, originale...

Enfin, bref, vous avez compris!?!

Les couvertures de livres ne reflètent pas toujours la qualité du texte, mais en tout cas, c'est le premier contact qu'on peut avoir avec un roman (ou autre), lorsqu'on va en librairie, c'est la première impression qu'on peut en avoir.

Pourquoi je raconte tout ça (hormis mon goût du bavardage?), tout simplement parce qu'il y a quelques temps, cette couverture m'a tapé dans l'œil:

 

G229 / Jean-Philippe Blondel, Buchet-Chastel, 2011

Je la caserais dans la catégorie des couvertures qui m'inspirent de la sympathie! Pour quelle raison, à vrai dire, je n'en sais rien, mais bon, peu importe.
La lecture de la quatrième de couverture m'a confortée dans mon impression, et du coup, nous l'avons acheté pour la bibliothèque.

Pour plus d'information, cliquez là.

Il s'agit du dernier roman de Jean-Philippe Blondel, auteur dont j'avais déjà entendu parler, mais dont je n'avais jamais rien lu.

Et puis, quelques temps plus tard, alors que je "trainais" dans une gare, je rentre dans une boutique et face à moi, une table de livres de poche (je n'achète QUE des livres de poches!), où trônais un autre roman de Blondel, et pour le coup, c'est le titre qui m'a interpellée : Le Baby-sitter (paru chez Buchet-Chastel en 2010).

Ce roman nous raconte l'histoire d'Alex. Etudiant en anglais, il vit dans un petit appartement, et a du mal à joindre les 2 bouts. Il décide de trouver un petit boulot, et (...) en arrive à devenir baby-sitter.

Un baby-sitter très apprécié, et dont on découvre les relations qu'il tisse avec ses employeurs (il est finalement très peu question des enfants!).

Alex possède un espèce de don, une gentillesse, une attention, une écoute pour les personnes qu'il rencontre, et qui en fait un personnage très attachant.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, qui se lit facilement (hormis une scène un peu difficile...) et vite. Un roman parfait pour une lecture de vacances! (ça me fait penser qu'il faudra que je raconte un peu mon séjour à Moscou, c'est là-bas que je l'ai lu! )

A présent, j'ai bien envie de découvrir d'autres romans de Jean-Philippe Blondel, à commencer par G229.

Ma sage-femme et moi... une belle histoire

J'ai écrit le texte qui suit pendant ma troisième grossesse... il y a un peu plus de 2 ans. J'avais envie de partager mes expériences avec des sages-femmes et même si tout ça n'est plus qu'une "vieille" histoire pour moi, j'ai toujours envie de faire de la pub à ce beau métier.
(texte légèrement revu et corrigé)



Beaucoup de futures mamans rencontrent des sages-femmes lors de leur grossesse. La plupart du temps, elles le font lors des séances de préparation à l'accouchement, que ce soit à la maternité ou en cabinet libéral. C'est aussi le cas le jour de l'accouchement, notamment en maternité publique.
Si le rôle des sages-femmes pour l'accouchement et sa préparation est (re-)connu par bon nombre de personnes, il n'en est pas suffisamment de même pour une autre facette de leur métier : le suivi de grossesse.
C'est cet aspect que je souhaite développer.


Ma première rencontre avec une sage-femme date de ma première grossesse. Après avoir effectué l'ensemble des visites mensuelles avec une gynécologue obstétricienne, le dernier rendez-vous s'est déroulé avec une sage-femme (le tout à la maternité où j'allais accoucher). 
Ça a été une "révélation"! Après avoir "subi" des rendez-vous, certes très professionnels, mais relativement froids et expéditifs, j'avais en face de moi une personne prévenante, compétente, chaleureuse et à l'écoute.

Lors de ma deuxième grossesse, j'ai donc décidé de me faire suivre par une sage-femme de la maternité (dans un autre département).
Toujours contente du contact avec la sage-femme, j'ai naturellement décidé de pousser cette démarche plus loin lors de ma dernière grossesse, où mon suivi a été effectué par une sage-femme libérale. Ce qui m'a entièrement satisfaite!


Les sages-femmes sont formées pour assurer le suivi des grossesses "normales". Dans le cas des grossesses pathologiques (qu'une sage-femme peut déceler, le cas échéant), le suivi par un gynécologue obstétricien est bien entendu nécessaire.
Mais dans le cas d'une grossesse non pathologique, et pour l'expérience que j'en ai eu, c'est avec une sage-femme que le suivi est le plus personnalisé et où l'écoute est la meilleure.

La sage-femme qui a assuré mon suivi de grossesse remplissait un dossier médical que j'ai ensuite transmis à la maternité, le même dossier que celui utilisé dans cette maternité.
Car certes les sages-femmes libérales n'officient pas (ou peu) dans la maternité, mais elles sont parfaitement informées des pratiques de celle-ci.

Au-delà de cela, c'est toute l'écoute, l'attention et la disponibilité portées sur ma grossesse, le futur bébé, et sur moi qui m'ont fait apprécier ce suivi auprès d'une sage-femme. A simple titre d'exemple, ces rendez-vous duraient bien souvent plus de 30 minutes, ce qui laisse largement le temps d'évoquer toutes les petites et les grandes questions qui permettent de vivre une grossesse sereine et épanouie.


Par ailleurs, une consultation est moins coûteuse chez une sage-femme que chez un gynécologue. Ce n'est certes pas l'argument principal à retenir, mais il a son importance.


A l'heure ou les gynécologues se font rares, il est temps de (re-)découvrir ce beau métier!


Pour plus d'informations :
- Le site du Conseil national de l'ordre des sages-femmes


- Sur le site du Ministère du travail, des relations sociales et de la solidarité, la fiche consacrée à ce métier.


Et comme pour bon nombre de situations, mon conseil est le suivant : utilisez le bouche-à-oreilles, pour obtenir des noms de sages-femmes autour de chez vous.


Note du 17 avril :
je vous invite également à faire un tour sur ce site tout neuf, créé par une élève sage-femme (en fin de formation).
Ma sage-femme et moi

Mes belles nappes de mariage!!!

Un petit message dans la même veine que celui concernant ma tête de lit (cf. là).

Lorsque je me suis mariée nous nous sommes mariés, je n'ai pas nous n'avons pas voulu des classiques nappes blanches pour agrémenter les tables.
Alors j'ai nous avons opté pour des nappes de couleur mauve. 

La belle affaire!!! Le tissu a été trouvé dans un magasin proche de chez moi (grande enseigne), mais il n'y en avait pas assez!!! Ma mère et ma belle-mère sont allées près de chez elles, pour trouver le complément... 

Le bilan de tout ça :
- De nombreux calculs : x nappes de longueur A, y nappes de longueur B... Avec 3 ou 4 rouleaux de tissus... et en essayant d'éviter des pertes de tissus (enfin, d'argent!)
- Un découpage d'une bonne douzaine de nappes aux ciseaux cranteurs (bon plan pour éviter les ourlets)
- Quelques heures de repassage (merci les mamans!)
- Un résultat très satisfaisant!!!
- (et en fait, très peu d'écart de coût par rapport à la location!!!)

Petit aperçu en images :

 

La couleur rend mieux sur cette photo

Bon, du coup, après le mariage, je me suis retrouvée avec un petit paquet de nappes/tissus et de serviettes dont évidemment je n'allais pas me resservir!!! 

Presque tous les invités sont repartis avec leur serviette. Pour le reste, je les ai données, offertes ou gardées.

J'ai aussi donné quelques nappes, mais (et c'est là tout l'intérêt de ce message... il est temps qu'on y arrive!!!!) j'en ai surtout recyclé un morceau!!!

Tadam!!!!

Un beau rideau pour la chambre de mes loulouttes!!!

J'ai utilisé un voilage que j'avais, et des petites fioritures venant également du mariage (cf. ci-dessous)

Bon, comme je suis une piètre couturière (je vous le prouverai ultérieurement!), je n'ai pas fait d'ourlet sur les côtés (le tissu est tel quel à ce niveau).

Mais bon, ça tient le choc, et j'avoue que je suis assez fière de moi!

(bon, pour la petite histoire, mes filles n'aiment plus le rose et le violet/mauve... Overdose, je crois. Elles en "bouffent" depuis qu'elles sont petites!!!)

Les petites fleurs mauves étaient là:

Et les roses, ici et ailleurs dans la déco :

Petite urne réalisée par mon Papa

Москва!!!!

La magie du direct... programmé!!!

A l'heure où ce message paraîtra sur mon fourre-tout, je serai dans les airs, entre Genève et Moscou!!! En route vol pour un grand week-end (en amoureux!).


Je suis évidemment super excitée et impatiente d'y être (d'autant plus que j'y retrouverai mon cher et tendre qui y est depuis quelques jours, pour le travail!)

Allez, pour se mettre dans l'ambiance et avant mes photos :

Cathédrale Sainte-Basile

Et un petit avant goût de notre première soirée :

Je n'ai jamais vu de ballet... j'espère aimer!!! sinon, je rattraperai les heures de sommeil perdues pour aller à l'aéroport à l'aube.
 
Pour le reste... euh... vu le prix de l'hôtel et des places pour le ballet, je pense qu'on va utiliser nos gambettes, nos mirettes et notre super guide de voyage (ce qui sera déjà super!)!

Ah! tiens!!! j'y pense, ce blog est déjà un fourre-tout, alors, je ne vais pas me gêner à mettre le bazar à l'intérieur même d'un message, alors laissez-moi vous présenter ce très très bel album jeunesse:

Matriochka / Sandra Nelson, ill. Sébastien Pelon
Albums du Père Castor, 2009


Pour en savoir plus, cliquez là.

Nos amis les animaux

Bon, c'est clair : JE N'AURAI JAMAIS D'ANIMAL à la maison!!!

Mèpourkouadonc??? Euh... en fait, il s'est passé un truc tout à l'heure qui m'a conforté dans l'idée que j'avais déjà.

Une collègue parlait ce midi de son chien qui avait une maladie (dont je n'ai pas retenu le nom) qui l'affaiblissait et qui (je résume, j'avoue que je n'ai pas écouté dans les détails) diminuait son espérance de vie... en gros, elle disait qu'il lui restait grosso modo 2 ans maxi à vivre.

Quelques minutes plus tard (pas plus) elle a reçu un appel : son fils venait de retrouver le chien, mort dans le jardin.
Son mari était sur place, mais elle a tout de même quitté le travail (en pleurs) pour rentrer chez elle.

Euh... à vrai dire, je n'ai pas trop su quoi en penser... 
Le petit diable, au-dessus de mon épaule me soufflait : "franchement, quitter son boulot pour une bête... surtout que le mari y est déjà... n'importe quoi!"
Le petit ange, de l'autre côté, évidemment plus sympa : "c'est normal qu'elle soit attachée à son chien, et qu'elle soit peinée pour sa mort... et puis, il faut bien qu'elle aille réconforter son fils... et son mari!"


Euh... (comment ça, je me répète???)


Bon, en tout cas, ce que j'en pense, moi, des animaux : 
- c'est source de souci
- ça coûte cher (bouffe, soins divers et variés)
- il faut s'en occuper, les sortir, nettoyer leur cage...
- ça rajoute des contraintes (vacances...)
- ça vit moins longtemps que nous, donc, c'est une source de tristesse potentielle
(pas besoin de me lister les arguments "pro", je les connais!!!)


Non, vraiment... j'ai déjà des enfants, merci!!!


Bon, en attendant, il faudra que je sois forte et convaincante face à mes loulous!!!
Mes arguments actuels sont les suivants :
- Pas d'animaux en cage ou en bocal, c'est trop éloigné de leur "vraie" vie
- Pas de chat, je suis allergique aux poils de chat ("pour de vrai"!!!)
- Pas de chien, nous vivons en appartement (est-ce qu'on fait bien de chercher une maison???)


Pour le moment ça fonctionne... pourvu que ça dure!!! 
Parce que, oui, je le redis : JE N'AURAI JAMAIS D'ANIMAL à la maison!!!


Euh, c'est curieux cette petite chanson qui me trotte dans la tête... "jamais dire jamais, jamais mon ami" (tout le monde aura reconnu Fievel et le nouveau monde, n'est-ce pas!?!)

Quatre soeurs. 1. Enid / Malika Ferdjoukh, dessins de Cati Baur

 Quatre soeurs. 1. Enid / Malika Ferdjoukh, Cati Baur, Delcourt, 2011


Je viens de terminer cette BD adaptée de l'excellent roman du même nom, paru aux éditions Ecole des loisirs (médium) en 2003.

Que ce soit pour le roman ou pour la BD, il s'agit du premier tome d'une série en 4 volumes mettant en scène non pas 4 mais 5 sœurs.

Enid, Hortense, Bettina, Geneviève et Charlie, âgées de 9 à 23 ans vivent seules dans leur vaste maison, la Vill'Hervé. Leurs parents sont morts dans un accident de voiture un peu plus de 2 ans auparavant.

Et c'est leur quotidien que l'on suit tout au long des 4 romans, qui ont pour titre chacun des prénoms des 4 plus jeunes sœurs.

Au cœur de cette délicieuse série : les rires, les joies, les peines, les difficultés, les chamailleries... des sympathiques sœurs Verdelaine.

J'avais dévoré, savouré, aimé... que dis-je, ADORE les romans. Gros gros coups de cœur, que je vous invite vivement à lire si ce n'est pas déjà fait!

Je suis un peu moins enthousiaste au sujet de la BD, n'étant pas fan des dessins de Cati Baur, que j'avais découvert à la lecture de Vacance (cf. là) paru chez Delcourt en 2009.

Cependant, j'ai retrouvé avec un grand plaisir l'ambiance de la Vill'Hervé, et je vais guetter la parution des autres tomes (Hortense) que je lirai, évidemment.

Ma lecture des romans étant un peu ancienne, je n'ai pas pu faire la comparaison avec la BD dans les détails. Et finalement, je pense que c'est mieux ainsi.
Il me semble que les éléments les plus importants sont là et que l'atmosphère a été respectée. 

Mais bien entendu, comme dans la plupart des adaptations, des remake... quelle que soit leur forme, l'original est le plus réussi, n'est-ce pas!!! 

Et je conseille un "tir groupé"! Lisez-tout, ce n'est pas long, c'est frais et plein d'optimisme!!!

Série Quatre soeurs :

Enid / Malika Ferdjoukh, Ecole des loisirs, 2003

Hortense, Malika Ferdjoukh, Ecole des loisirs, 2003

Bettina, Malika Ferdjoukh, Ecole des loisirs, 2003

Genenviève, Malika Ferdjoukh, Ecole des loisirs, 2003 

Et si vous avez encore des doutes, vous trouverez d'autres avis enthousiastes, là, ici, ou encore là-bas (avec dans ce dernier billet une critique de la BD également).

Le sport, la compétition... et moi.

Je ne suis pas sportive.

Euh... je devrais plutôt dire : je n'ai pas l'esprit de compétition.

Ou les 2!


En fait, c'est le deuxième point qui l'emporte, et c'est sans doute cela qui a fait que je ne suis pas sportive.

Parce que oui, bien sûr, je ne rejette pas en bloc le sport. Et même si je ne pratique(/ais) pas régulièrement de sport, on ne peut pas non plus dire que je ne pratique aucune activité physique!!!


Non, vraiment, ce que je déteste par dessus tout, c'est la compétition!
Et lorsque j'étais enfant, je n'ai jamais pu exercer de sport simplement pour le plaisir! La compétition pointait toujours le bout de son nez... et moi, tôt ou tard, je fuyais!!!

J'ai d'abord fait de la gymnastique pendant 4 ans... 
J'ai arrêté avant d'intégrer la catégorie supérieure où le nombre de compétition passait de 1 à 2 par an!!! 1 compétition par an, c'était déjà l'angoisse pour moi... alors 2!!! (bon, il faut souligner que je n'étais pas particulièrement douée non plus!)

Puis, j'ai fait de la natation, que j'ai arrêté au bout de 2 ans parce que la suite logique de ma progression (parce que là, j'étais plutôt bonne) c'était 2 entraînements par semaine et une compétition toutes les 2 semaines! (inenvisageable!)


J'ai joué 2 ou 3 ans au basket et j'ai arrêté (je ne sais d'ailleurs pas pourquoi j'ai commencé!?) parce qu'évidemment, qui dit sport collectif, dit match, et qui dit match, dit compétition!
J'étais d'ailleurs tellement bloquée par la compétition qu'une fois, j'avais demandé à l'une de mes co-équipières de ne pas m'envoyer le ballon au cours du match qui allait suivre...
Hum... elle l'a certes fait, mais elle a également eu la bonne idée d'en parler dans la voiture au retour... Ma mère, qui nous conduisait, n'a pas vraiment apprécié!


Après cela, j'ai complètement arrêté le sport (si ce n'est celui pratiqué à l'école)... jusqu'à la fac, et là, j'ai enfin pu pratiquer un sport pour le plaisir/loisir. 
Dans le cadre du sport obligatoire, mais optionnel, du cursus dans lequel j'étais, je me suis inscrite à l'escalade (en salle).
Je n'ai jamais atteint un niveau merveilleux (euh... grimper avec les genoux et en papotant, ce n'est pas très réglementaire!), mais j'y ai passé de très très bons moments, je me suis surpassée, j'ai pu constater ma progression, ce qui était une véritable motivation pour moi, j'y ai pris beaucoup de plaisir.
Et puis "accessoirement" parlant, j'y ai aussi rencontré mes meilleurs amis...


Par la suite, je m'étais inscrite au badminton, là aussi en section loisir, mon ressenti était quasi le même qu'à l'escalade, mais cette expérience a été de très courte durée, puisque je suis tombée enceinte... 


Quelques années ont passé depuis, suite à mes 3 grossesses et à mon entrée dans la trentaine... je me suis décidée à "faire quelque chose". Pour mon corps (plutôt "élancé", mais absolument pas assez ferme à mon goût!), pour moi... et euh... pour pouvoir continuer à m'enfiler des carreaux de chocolat sans regret!

Je me suis réinscrite au badminton. 

Ça me plait beaucoup, je progresse, etc. (je ne vous la refais pas, hein, vous avez compris!).
Mais j'avoue qu'il m'est parfois difficile de me motiver à y aller... Si je n'étais pas accompagnée d'une amie, je ne m'y tiendrais évidemment pas... 

C'est là mon principal regret... Ne pas ressentir ce besoin impérieux de faire du sport, qui m'inciterait à courir, nager, taper dans une balle ou autre, sans réfléchir, sans avoir recours à cet argumentaire : c'est bon pour ton corps, pour ta santé, pour ton maillot de bain...


Bon, allez, ce n'est pas tout ça, il faut que j'aille manger du chocolat faire du vélo dans la nouvelle salle de sport de la copro!!!