Les Aventures de P'tit Bonhomme de Pierre Delye

Je ne sais pas si je vous ai déjà parlé de mon amour pour Didier?
("rrrrrrrooooohhh!!!...")

Cela fait quelques années, déjà, que j'ai craqué!

Comment vous dire? Il ne me déçoit jamais. Il me distrait, il me fait rire, il m'émeut parfois, il m'offre de très belles choses à voir et à écouter.

Eh! oui! Didier frise la perfection!!! Rien que ça!

Mais qui est ce Didier si, si... tellement... tant...???

Didier jeunesse, bien sûr! L'éditeur de livres et livres-cd pour enfants.

Je pourrais passer des heures et des heures, des jours même, à vous parler de tel ou tel album, de tel ou tel recueil de comptines, mais on n'a pas que ça à faire, mais comme j'ai annoncé la couleur juste là au-dessus, je vais me contenter de vous parler de ma dernière (génialissime) découverte.

Les aventures de P'tit bonhomme de Pierre Delye,
Didier jeunesse, 2011

Ce livre-cd regroupe 2 contes de Pierre Delye, précédemment parus aux éditions Didier jeunesse :

- Le P'tit bonhomme des bois (merveilleusement) illustré par Martine Bourre.
(Pour en savoir plus, promenez-vous ici)

- La grosse faim de P'tit bonhomme (superbement) illustré par Cécile Hudrisier.
(Pour en savoir plus, croquez là)

Et c'est Pierre Delye, lui-même qui nous raconte ces deux histoires sur le CD, accompagné par les très belles mélodies de Grégory Allaert.

L'éditeur, pour présenter ce livre-cd, évoque la "voix chaude et enthousiaste" de Pierre Delye... qui a d'ailleurs commencé par conter avant d'écrire, comme il le raconte si bien sur le site de la librairie Dialogues (cf. ici-même).
Cet entretien a eu lieu peu de temps avant la parution de ce conte détourné :

Les Musiciens de la Nouvelle-Brême de Pierre Delye, 
ill. Cécile Hudrisier, Didier jeunesse, 2010.

J'adore ce que fait cette illustratrice!!! Et, merveille des merveilles, je viens de découvrir qu'elle a un blog (à vrai dire, je n'avais jamais cherché!).
Donc, je vous laisse et je vais vite y faire un tour!!!
Si ça vous tente, c'est par là.


(ce qui ne doit pas vous empêcher de (re-)découvrir Pierre Delye et les éditions Didier jeunesse!!!)







 

Kung Fu Panda 2

Mardi soir, la météo était prometteuse... 

Des promesses grisâtres et pluvieuses, du genre qu'on n'aime pas trop, à la veille d'un mercredi à la maison avec ses enfants.

Je savais que Kung Fu Panda 2 était sorti la semaine dernière, du coup, je me suis dit : allez hop! un petit ciné!!!

Il y a quelques mois j'avais vu ça au ciné :

 
Moi qui n'ai pas vu le premier opus, cette courte bande-annonce m'a fait rire et bien tenté!

Donc, mardi soir, j'ai acheté mes places en ligne, toute contente à l'idée de faire une surprise à mes loulouttes... et c'est là que...
... que mon cher et tendre m'a demandé : "tu es sure que c'est pour les elles?" 

Euh... j'avoue, je ne m'étais même pas posé la question!!! Ce qui n'est franchement pas dans mes habitudes, dans NOS habitudes, nous qui sommes super stricts (trop?) sur ce que nos enfants regardent et sur le nombre d'heures qu'ils passent devant la télé! (On est plutôt du genre à faire baisser les stat'...)
Les places étaient achetées, je ne sais même plus ce que j'ai répondu, on en est resté là.

Le lendemain, direction le cinéma! Les filles super ravies de LA surprise (tout l'intérêt de ne pas gaver ses enfants de télé ou de ciné, c'est que lorsqu'ils vont voir un film, c'est la méga-fête!), et moi tout aussi guillerette (parce que même si je ne suis pas en manque de télé et de films, le ciné c'est super rare)!

Guillerette... jusqu'à ce que débutent les bandes-annonces!
Les rares fois où j'ai emmené mes filles au ciné, pour voir un film d'animation, il n'y avait que des bandes-annonces de dessins animés ou de films pour le jeune public. Logique...

Mais lorsqu'hier elles ont commencé par le film sur l'affaire Omar Raddad, puis celle de Transformer 3... puis... je ne sais même plus car j'étais trop occupée à distraire mes filles pour qu'elles ne voient pas tout ça... je me suis dit que j'avais peut-être fait une grosse grosse erreur, en les emmenant voir Kung Fu Panda 2, elles qui ont presque 8 ans, pour l'une, et surtout tout juste 5 ans, pour l'autre...!!!

Bon, de toute manière, on y était... prêtes à voir ce gros nounours bicolore, armées de nos lunettes 3D.

Résultat des courses du côté des filles:
- quelques frayeurs (finalement plus chez ma grande!)
- quelques demandes d'explications (exp."Maman, il rêve là?") ou besoins de se rassurer (exp."De toute manière, dans les films, quand il y a des méchants, c'est toujours les gentils qui gagnent")
- des rires
- des dialogues aimés et répétés ("je cuisine" "non! JE cuisine" "non, JE cuisine" "j'ai une idée : ON cuisine!" "non, JE cuisine")
- mais au final un grand plaisir, en particulier chez ma 2ème, ravie à l'idée de pouvoir raconter ça à son grand copain V. (fan de bagarres, chevaliers, etc.)


Résultat des courses de mon côté :
J'ai passé un super moment, été épatée par la beauté des images et leur réalisme, j'ai aimé l'histoire et les personnages, j'ai beaucoup ri, et adoré les dialogues qui sont excellents.
C'est un super film d'animation, pour petits (pas trop) et grands.


Et surtout, j'ai adoré partager ce moment avec mes filles.
J'ai une nouvelle fois été fière d'elles, heureuse de découvrir leurs réactions dans un contexte nouveau pour elles... (purée quand je dis ça, on dirait que je les ai emmené faire du parapente!!! NON, je ne suis pas (trop) mère-poule!!!)


Et puis, et puis... j'ai aussi hâte de voir le premier volet des aventures de Po et cie, le DVD attend sagement près de notre télé qu'on daigne s'intéresser à lui. 
Ce qui ne devrait pas tarder!




 

Mots-clés

Désolée, je ne pouvais pas la laisser passer, celle-là!!!

Aujourd'hui, quelqu'un est tombé par hasard (j'espère!!!) sur ce blog en tapant sur un moteur de recherche :
"fourrer madame".

Merci Monsieur (je présume) ou Madame (pourquoi pas!), pour cette bonne tranche de rigolade!!!

Recette : LE gâteau magique, alias le gâteau au yaourt

Je suis une cuisinière hors-pair. 

Ça, vous n'en doutez pas, depuis que vous savez que je suis une parfaite femme au foyer (cf. là et là).
Et comme j'ai consenti à vous révéler mes supers trucs de ménagère, je vais vous révéler aujourd'hui LA recette.

Je dis bien "LA recette", sans autre précision, parce que s'il faut utiliser qu'une seule recette, c'est celle-ci, et pas une autre. Dans la catégorie gâteaux, bien sûr!


Voici donc la recette de base que j'utilise, légèrement adaptée d'une recette que j'avais faite au CP!
Je vous l'écris en bleu, comme l'originale copiée avec l'ancêtre de la photocopieuse (le duplicateur à alcool, comme nous le rappelle Wikipédia, ici), que ma maman a toujours, je crois. 

Source de l'image : http://www.cuisine-gratuite.com/recette-yaourt-maison-raib-93.html

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Gâteau au yaourt

1 yaourt

3 pots de farine

3 œufs 

1 pot de sucre

3/4 de pot d'huile

1 sachet de levure chimique

Pour un démoulage parfait, n'oubliez pas de beurrer et fariner votre moule!

Et pour le temps de cuisson, utilisez vos yeux, votre odorat... et une pointe de couteau!

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Vous allez dire/penser, que tout cela n'a rien de magique!

Effectivement, si on se contente d'utiliser cette recette telle quelle!

Voici plusieurs variantes que je réalise régulièrement.

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Gâteau renversé à l'ananas

Pour cela, il faut, en plus, du caramel (maison ou acheté) et une boîte d'ananas en tranches.

Verser le caramel au fond d'un plat à tarte.

Recouvrir avec la préparation (recette de base).

Disposer les tranches d'ananas sur le dessus de la pâte.

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Clafoutis aux cerises

Réalisé avec la recette de base, ou avec une variante gourmande :

-> remplacer 1 pot de farine par 1 pot de poudre d'amande

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Gâteau aux épices

Remplacer 2 pots de farine par 2 pots de poudre d'amande.

Ajouter une cuillère à café de mélange 4 épices (cannelle, girofle, muscade, gingembre)

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Gâteau à la banane et au chocolat

Utiliser la recette de base, à laquelle on ajoute 2 bananes coupées en rondelles et des copeaux ou des pépites de chocolat (pour la quantité : je ne mesure pas, mais je crois râper au moins 4 ou 5 carreaux de chocolat)

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Bon, je crois que vous avez compris le principe... ce ne sont que des exemples parmi tant d'autres, que vous pourrez réaliser au gré de vos envies... et surtout en fonction de ce dont vous disposez dans votre frigo et vos placards!

Et je sais bien que je ne suis pas la seule à utiliser cette "recette magique". J'imagine que vous aussi vous avez des variantes du gâteau au yaourt! 

Je serais ravie de les connaître!!!

Quand souffle le vent du Nord ; La septième vague de Daniel Glattauer

Je continue ma petite série "lecture", en espérant que cela ne vous incommode pas! 

A ce propos, je tiens à préciser que je ne parle pas forcément de tout ce que je lis...

Donc, suite à mon "expérience" Musso, je me suis jetée sur La septième vague de Daniel Glattauer.

Un roman qui fait suite à l'excellent Quand souffle le vent du Nord, paru l'année dernière, que j'avais dévoré-adoré, mais qui m'avait laissé un petit peu sur ma faim. Eh! oui! ça ne pouvait pas se terminer comme ça!!! 
La preuve, ce gentil Mr Glattauer a décidé de reprendre la plume pour poursuivre les aventures (virtuelles) de Emmi et Leo, que je vais vous présenter ici!

Quand souffle le vent du Nord de Daniel Glattauer, Grasset 2010

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Avant de poursuivre, je me permets de faire un petit intermède esthétique. Je n'aime pas du tout cette couverture, alors j'ai un peu fouillé et trouver d'autres versions de la couverture : 

France Loisirs

A vue d'œil, livres en gros caractères

Le livre de poche

Ma préférence allant vers les couvertures de France Loisirs et du Livre de poche.
Bref...

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Présentation de l'éditeur :

"En voulant résilier un abonnement, Emma Rothner se trompe d'adresse et envoie un mail à un inconnu, un certain Leo Leike. Ce dernier, poliment, lui signale son erreur ; Emma s'excuse, et peu à peu, un dialogue s'engage entre eux, par mail uniquement. Au fil du temps, leur relation se tisse, s'étoffe, et ces deux inconnus vont se mettre à éprouver l'un pour l'autre une certaine fascination. Alors même qu'ils décident de ne rien révéler de leurs vies respectives, ils cherchent à deviner les secrets l'un de l'autre... De plus en plus attirés et dépendants, Emmi et Leo repoussent néanmoins le moment fatidique de la rencontre. Emmi est mariée, et Leo se remet à peine d'un chagrin d'amour. Un jour, pourtant -enfin!-, ils décident de se donner rendez-vous dans un café bondé de la ville. Mais ils s'imposent un règle : reconnaître l'autre qu'ils n'ont jamais vu, avec interdiction formelle de lui parler..."

Ce sont donc tous leurs échanges de mails qui sont retranscrits dans ce roman qui se lit d'une traite, ou presque.

Bien sûr, la qualité et l'intérêt de ce roman ne résident pas dans l'écriture, mais bel et bien dans l'idée de départ.

Idée fort sympathique, tout comme les personnages à qui on s'attache très vite et dont on a envie qu'ils se rencontrent. 
Et en même temps pas tant que ça, évidemment...

Cette relation platonique, virtuelle plutôt, est très romantique, on la vit avec eux, au fur et à mesure de leur correspondance !

Je ne vous en dis pas plus, ce serait dommage.

Cependant, je vous invite à cliquer là, pour découvrir, sur le site des éditions Grasset, le premier chapitre de ce petit bijou.

Et bien entendu je ne m'attarderai pas non plus sur la suite. 
Je suis persuadée que quiconque aura lu Quand souffle le vent du Nord, se jettera sur La septième vague!!!

La septième vague de Daniel Glattauer, Grass

Excellente lecture!!!

L'Appel de l'ange de Guillaume Musso

Ça faisait quelques temps (mois, années...) que je me disais qu'il fallait que j'en lise au moins un! Ça y est, c'est fait, j'ai enfin lu un Guillaume Musso, et pour tout dire, ça n'a pas été désagréable!

Je dois dire que jusqu'à présent, je les fuyais un peu ces best-sellers. Pourquoi??? Euh... parce qu'ils sont super demandés à la bibliothèque et que je n'avais pas envie d'attendre mon tour, parce qu'ils n'ont pas besoin de moi pour avoir du succès (contrairement à d'autres romans/auteurs que j'aime pouvoir faire découvrir à mes amis/lecteurs...), et ... allez, j'avoue un peu par snobisme ("pfff... Musso, Lévy, trop facile, trop..."... ouais, trop quoi d'abord??? hein, je vous le dis, pur snobisme!).

Et pourtant, les romans "faciles", "grand public", j'en ai lu, j'en lis, et j'aime (genre : Katherine Pancol et sa fameuse trilogie, Harlan Coben, et j'ai même lu les 2 premiers Lévy!)!!! 


Bon, en tout cas, comme le proclamait si bien Flanby, il y a quelques années : "il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis", et comme la quatrième de couverture du dernier Musso m'a bien plu, je l'ai emprunté, et lu!!!

L'Appel de l'ange de Guillaume Musso, XO éditions, 2011

Bon, après tout ce bla-bla, des extraits de la quatrième de couv':
"New York. Aéroport Kennedy.
Dans la salle d'embarquement bondée, un homme et une femme se téléscopent.(...) Madeline et Jonathan ne s'étaient jamais rencontrés, ils n'auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangé leurs téléphones portables. Lorsqu'ils s'aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10000 kilomètres (...). 
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l'autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu'ils pensaient enterré à jamais...


Entre comédie romantique et thriller de haute volée
Une intrigue magistrale portée par des personnages bouleversants
Un final virtuose"


Mon avis :
Eh! bien... que dire...??? Comme je l'ai déjà annoncé, cette expérience n'a pas été désagréable, plutôt agréable, même. J'ai lu, et même dévoré les presque 400 pages de ce roman...
Je peux même dire que j'ai aimé, mais... eh! oui, il y a un "mais".
Comment dire??? 

J'ai aimé l'idée de départ (l'échange des portables qui lie 2 inconnus), le fait qu'ils laissent leur curiosité prendre le pas et fouillent dans l'intimité de l'autre. 
Je souhaitais qu'ils se rencontrent, et je savais que ça serait le cas.


Ce qui m'a dérangé, et sans vouloir entrer dans les détails (je ne veux pas gâcher le suspens pour ceux qui voudraient le lire!), c'est tout ce qui tourne autour du fameux "secret" et qui fait passer ce roman de "comédie romantique" à "thriller de haute volée"... enfin... ça, ce ne sont pas mes mots!


C'est justement ce basculement qui m'a dérangé... Là aussi, l'idée est intéressante, mais ajouter au reste, cela m'a paru trop trop, comment dire??? Trop prévisible, trop facile, trop "gros", trop invraisemblable...
Bon, d'un autre côté, nous sommes dans un roman, et qui dit roman dit fiction. Il est logique qu'un romancier puisse mettre en scène des situations qui n'arriveraient pas forcément dans la "vraie vie", je vous l'accorde!


Quoi qu'il en soit, comme je le disais, tout ça ne m'a pas empêché de dévorer ce roman. Parce que justement, les romans de Guillaume Musso sont des best-sellers, ce n'est pas par hasard. Quoi que je puisse penser de la façon dont ce roman est construit, il n'est pas mal écrit et on a envie de connaître le fin mot de l'histoire, de suivre les personnages jusqu'au bout de leurs aventures!!!
Des aventures avec en toile de fond une potentielle histoire d'amour.


Parce que s'il est annoncé que ce roman est un thriller (j'émets une certaine réserve!), c'est avant tout et surtout une comédie romantique!!!
C'est un pur moment de lecture détente et plaisir.


Et de la même manière que je reviens régulièrement vers ces "polars faciles" d'Harlan Coben, je sais qu'un jour je lirais un autre roman de Guillaume Musso!

Pourquoi? Tout simplement parce que ça fait du bien!!!
Alors, surtout ne vous arrêtez pas à mes critiques, allez-y, lisez L'Appel de l'ange!

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Remarques:

Ma comparaison avec Harlan Coben n'est absolument pas fortuite.
Je trouve que Guillaume Musso a une façon d'écrire très "américaine".
Je ne sais plus quel auteur (peut-être Coben, ou Dan Brown...) avait dit dans une interview que s'il écrivait avec une telle fréquence (genre un roman par an), c'est parce que tout simplement il envisageait l'écriture comme n'importe quel métier, que l'on pratique tous les jours de l'année (ou presque).
C'est un processus très "américain", à l'image d'une Mary Higgins Clark, d'une Patricia Cornwell, dont les romans paraissent à un rythme que peu de nos auteurs français suivent.


L'autre élément qui m'amène à faire un parallèle entre Musso et les auteurs nord-américains, et pas uniquement les auteurs prolifiques, ce sont les remerciements à rallonge inscrits à la fin du livre.